Christian Paccoud
Padam
Paki
Maria Palatine
Jean-Marie Pallen
Jacques Palliès
Dan Panama
Les Paparasites
Parfum de Femmes
Les Papillons
Paria
Paris Bossa
Paris Combo
Paris Canaille
Pascal Parisot
Las Patatas Espantadas
Nicolas Pateloup
Paul & Robin
PEGE
Le P'tit Crème
Le P'tit Vélo
Anne Péko (Pékoslawska)
Claire Pelletier
Gilles Pemptroit & Michel Roty
Pendanstan
Joseph Penisson
Jacques Perciot
Maxime Pérez
Pascal Périz
Perpette
Michel-Marie Perraudin
Véronique Pestel
Les Petites Faiblesses
Petithomme
Pétrek
Peyo

Une belle illustration de l’œuvre de Gaston Couté. Excepté deux morceaux signés de Gérard Pierron (« Les cailloux », « Le gas qu’a perdu l’esprit »), le reste des musiques est signé de ce groupe et sonne avec justesse, entre guitares folks et accordéon. A noter la présence sur ce disque de Bernard Gainier, paysan beauceron, pour quelques textes dits avec truculence dans le patois de ce terroir (« Les électeurs », « Le christ en bois »…). Pour la modernité sans cesse retrouvée de Gaston Couté !

F.P.

Nous retrouvons les 4 compères du groupe "Le P'tit Vélo" qui, sur des textes et compositions de F. Lods, nous propose à nouveau une palette de son talent à mélanger humour ("De la soupe dans la soupière ", "Les hommes sont lâches "), tendresse et émotion ("Sur le quai des gares "). La voix de V. Jacquet répond judicieusement en écho à celle de Fabrice pour perpétrer ce son personnel qui ne serait pas sans la touche de légèreté apportée par la flûte délicate de V. Lopez, ajoutée à la rythmique-basse de S. Koch..

J-P.C.

Nos 4 compères (chant/piano/basse/flûte) nous font passer un agréable moment au long de ce mini CD qui restitue parfaitement le ton gai et enjoué de leur tour de chant, de l'autodérision de Valérie ("Je tourne en ronde ") aux déboires d' "Un couple épatant ", en passant par une emballante "Petite reine " et "Le p' tit vélo " dont la ritournelle vous trotte longtemps en tête. Ces chansons au ton résolument optimiste et enjoué, parfois grinçant, n'excluent cependant pas d'autres compositions plus intimistes ("Interdiction d'aimer " et "Soleil de nuit "). A noter, la flûte et le mélodica qui apportent couleur et légèreté à cette production bien sympathique.

J-P.C.

Une équipe sympathique animée d’une même passion pour la chanson, un univers romanesque ou fantaisiste plein de fraîcheur, une poésie sur laquelle se penche la silhouette d’un Prévert, des musiques alertes où se mêlent piano, flûtes et guitares. Un instantané de leur travail avec une reprise de “Tous les proverbes” tirée du dernier disque de Jehan, qui manque malheureusement un peu de souffle. A découvrir.

F.P.

16 titres dont un pot pourri de six chansons. Ce CD est parrainé par Michel RIVGAUCHE qui écrit : "Piaf est inimitable, elle est Edith l’unique. Mais Anne ne cherche surtout pas à l’imiter. ..../ Jouer Edith Piaf comme on jouerait Macbeth, Phèdre, Célimène, mais sans chercher à voler sa voix, sans chercher son génie"

M.V.

Album enregistré en public pour cette Québécoise, interprète et musicienne qui, avec la complicité du parolier Marc Chabot et du compositeur Pierre Duchesne, produit un travail tout à fait original à travers l’histoire des mythes, contes, légendes et le folklore, mêlant culture amérindienne et inspiration celtique. On retrouve ici le voyage entamé avec “Galiléo”, son précédent disque qui nous entraînait dans le sillage de Galilée et d’Hildegarde von Bingen, mystique moyenâgeuse, de l’évocation d’Abélard et Héloïse à celle du discours d’Aristophane, de “Kabir kouba”, légende huronne à l’évocation de l’Irlande. Nous proposant un voyage initiatique à travers l’imaginaire humain, sa soif d’absolu, Claire Pelletier, avec sa voix puissante, profonde et généreuse, porte à merveille ces récits et on se laisse envoûter par ces musiques étranges et métissées. Et pour affirmer ses multiples influences, elle reprend ici “Le luneux” emprunté à Malicorne, “Tri Martelod” cher à Alan Stivell et “La Manikoutaï” de Gilles Vigneault. Une réelle beauté, un travail précis, soigné et intelligent! Un “Coffre” aux trésors qui recèle une vraie magie !

F.P.

Cette Quebecoise, interprète et musicienne, d’abord choriste de Michel Rivard et Claude Dubois, s’illustra ensuite dans un spectacle intitulé «de Félix à Desjardins». Depuis 1996, avec la complicité du parolier Marc Chabot et du compositeur Pierre Duchesne, elle produit un travail tout à fait original à travers l’histoire, les mythes, contes et légendes et le folklore où se mêlent cultures amérindiennes et inspiration celtique. De Galilée à Hildegarde von Bingen, mystique moyen-âgeuse, du discours d’Aristophane à Ronsard, de «Kabir kouba», légende huronne à l’évocation de l’Irlande, elle nous propose un voyage initiatique comme une quête de l’absolu, de l’imaginaire humain, de son universalité. Claire Pelletier, avec sa voix puissante, profonde et généreuse, porte à merveille ces récits et on se laisse envoûter par ces musiques étranges et métissées. On peut juste regretter que certains arrangements trop léchés, trop propres, alourdissent ce chant si pur. De la beauté, de l’intelligence et de l’ambition ! Une réelle magie !

F.P.

Tenant bien haut le flambeau de la chanson traditionnelle “ Rive Gauche ”, ces deux artistes nous proposent des titres de facture classique. La voix de Gilles Pemptroit rappelle étrangement les accents de Tachan dans “Mon p’tit gars” et “Dix ans”. A noter, une version des “Masques” de Stéphane Cadé et Michèle Guigon. Intéressant mais sans surprise

F.P.

Débutant à 2 en 97, le quatuor trouve sa formation définitive en 2003 et tourne dans divers petits lieux parisiens. Dans un registre de textes absurdes et fantaisistes, il nous emmène prendre un five o'clock avec Miss Ferguson, tâter sensuellement l'osier verni des chaises de chez André ou découvrir les prénoms gravés sur les bancs de la place Dauphine. Un titre préfigure un disque complet à venir sur le thème du vélo dont le groupe est amoureux ("l'origine du sandwich ", sur … la fringale).

J-P.C.

La rencontre entre Joseph Penisson (auteur/interprète), Jeff Dufour (composition/arrangements) et Olivier Thouault (réalisation) date d'une dizaine d'années. Ils sont rejoints pour ce nouveau CD par divers musiciens, dont un ensemble de cordes. Les arrangements bien sentis sous-tendent l'extrême gravité de certains thèmes : le curé qui abuse d'un enfant ("Monsieur l'abbé "), l'absurdité des guerres ("Toujours une guerre quelque part ") ou la perte d'un proche ("Et mon père s'est endormi "). De plus grandes envolées soulignent l'optimisme de certains autres ("Me revoilà à Montréal ", "Oh oui Québec je me souviens"). Enfin, de touche personnelle ("Curriculum Vitae ", "L'oncle Jo ", "Ma route en solitaire") en désordre amoureux ("L'ombre d'une absence ", "Folie de deux amants", "Je vais de l'avant "), voilà une riche palette de chansons réalistes d'un artiste depuis toujours titillé par le démon de l'écriture : "mais que ça plaise ou non/même après la retraite/je ferai de la chanson/et si je dois faire la quête/j'irai chanter dans les bars/aurais-je l'air d'un ringard ?"

J-P.C.

Par cet animateur de RADIO BLEUE passionné de chanson française. Avec Philippe Marcillac au piano et Pascal Ségal à la contrebasse, il a interprète lui-même ses textes sur des musiques de Jean-Claude Annoux (vous vous souvenez des “Jeunes loups”) et Philippe Marcillac. Cela donne des petites chansons légères et drôlatiques dont l’humour oscille entre Lapointe (Boby bien sûr) et Louki.  Bravo Jacques, mais travaille ta voix !

M.V.

Premier album pour ce jeune auteur, compositeur et interprète issu de la Manufacture Chanson qui a su, au-delà de cet apprentissage qui lui fut essentiel, garder toute sa fraîcheur et son originalité. Mariant humour et tendresse, il évoque les contes de fées lus "A la bibliothèque " et se demande où est sa Belle au Bois Dormant, raconte l'histoire à rebondissements, désopilante mais un peu navrante d'un jeune homme, buveur, joueur et menteur ("Deux heures "). Emouvant, ironique ou malicieux, il fait, au rythme d'une valse, le portrait cru mais tendre de son grand-père ("La valse du Boulanger "), dénoue habilement le fil des sentiments ("Ariane ") et fait un constat cynique et désabusé d’une vie commune et d’une séparation ("Hortense "). Sur des arrangements de Frank Perrolle qui l’accompagne à la guitare, avec la complicité de Benoît Demuynck (basse), Guillaume Leray (piano), Philippe Dieterlen (contrebasse), Edouard Coquard (batterie), Thierry Bretonnet (accordéon), Jean-Louis Descamps et Frédéric Mangeon (violons), voilà quelques paroles enlevées, des musiques alertes, pour un artiste prometteur qui allie finesse du trait, tonus et énergie. Des aventures à suivre…

F.P.

Un jeune auteur, compositeur et interprète issu de la Manufacture Chanson. Au delà de cet apprentissage qui lui fut essentiel, il a su garder toute sa fraîcheur et son originalité. Avec des accents qui rappellent parfois ceux de Jean Dubois, il marie humour et tendresse, évoque les contes de fées lus «A la bibliothèque» et se demande où est sa Belle au Bois Dormant, regarde passer les gens et fait quelques croquis en attendant «Le train d’onze heures moins vingt», raconte l’histoire à rebondissements, désopilante mais un peu navrante d’un jeune homme, buveur, joueur et menteur («Deux heures»), se raille du succès («Le pauvre imbécile») et, au rythme d’une valse, fait un portrait cru mais tendre de son grand-père («La valse du Boulanger»). De la finesse, de l’humour, des paroles enlevées, des musiques alertes, beaucoup de tonus et d’énergie, voilà un jeune artiste qu’on a envie de défendre.

F.P.

Après cinq ans de silence, cet ACI, ex-membre du célèbre groupe vocal Pow Wow, guitare à la main, revisite les petites scènes pour une carrière solo. Difficile de trouver le moindre défaut à la pureté de cette voix. La chaleur est manifeste dans les 2 ballades acoustiques ("Le manège " et l’espagnole "Cielo "), mais se perd quelque peu dans l’abus de boîte à rythmes et autres synthés des 3 autres morceaux. Malgré tout "le lion n’est pas mort ce soir", loin s’en faut.

J-P.C.

Entre chansons et clowneries, ce trio loufoque nous entraîne dans son univers déjanté. Avec le concours d’une contrebasse, de guitares, mélodica, banjo, mandole et castagnettes, les trois compères tournent gentiment en dérision notre monde («L’apolitique»), se gaussent de nos étroitesses d’esprit («La bourgade»), évoquent avec nostalgie le «Baby boum», font un reggae en revisitant les châteaux de la Loire. Une joyeuse troupe iconoclaste et pleine de fougue dont le seul credo est de nous distraire. A savourer sur scène ou dans la rue où ils excellent. Extravagant !

F.P.

Une joyeuse troupe qui se plaît à mélanger le jazz et la valse, dans la lignée du “swing musette”. Sur des musiques festives, la voix de Gérard Thévenet prend des accents “canaille” et s’inspire de la gouaille des grandes figures de la chanson “ parisienne”. Les textes font la part belle à la fantaisie. Alerte et sans prétention.

F.P.

Avec une écriture remarquable, des mots justes, Michel-Marie s’impose dans ce disque comme un auteur compositeur de très grande qualité. Sachant être tendre avec “Kelly”, rieur avec des clins d’œil à Boby Lapointe et Brassens (“Tante Fifi”, “La main au cul”), il gagne en profondeur et prend une autre dimension lorsqu’il devient grave, que les intonations de sa voix se font tragiques. Il nous fait partager souvenirs et nostalgies en évoquant sa Corse natale (“U sonniu”, “Cipriani”), douleurs et révoltes (“La marche funeste”, “Mouloud”). L'aspect poétique de ces textes est enrichie par les superbes accompagnements de David Authelain (piano, arrangements), Vimala Sitthisack (violon alto), et Estelle Amselme (contrebasse). Entre rêve et passion, confidence et lyrisme, un univers à découvrir

F.P.

Michel-Marie Perraudin nous envoie de Lyon en avant-première de son prochain CD un simple mini-CD de 6 titres d’auteur-compositeur. Nous avons aimé les deux premiers CD, nous ne sommes pas déçus avec celui-ci. Michel-Marie sait écrire et il donne à la fois rigueur et vigueur dans son interprétation. Les arrangements sont de qualité et les musiciens qui l’accompagnent ici sont ceux qui le suivent dans ses concerts. Ils savent s’effacer pour mettre en valeur les textes. Ceux-ci passent de la jonglerie comique des mots ("Tante Fifi") à un lyrisme poétique dans la filiation de Ferré ("U Sonniu"). Il en résulte 6 bonnes chansons. Une seule remarque : Il aurait mieux valu donner un autre titre à la chanson "La main au cul" car ce titre en déflore la chute.

M.V.

Le mois dernier, au reçu du 2ème CD de cet artiste que je ne connaissais pas, j’ai dit dans le bulletin de mars combien j’étais enthousiasmé. Sensible à mes (sincères) compliments, il m’a envoyé son 1er CD paru en juin 96. Il y a là dix titres de grande qualité dont il a écrit musiques et paroles à l’exception de 3 textes signés Moine et “A une passante” de Baudelaire. Une totale réussite. Il serait temps que Lyon cesse d’ignorer le talent de certains de ses habitants!

M.V.

Une seule grosse critique préalable: La jaquette pourtant bien dessinée ne donne absolument pas une idée de ce que l’on va trouver dans ce CD! On s’imagine qu’il s’agit d’un disque “pour enfants”! Mais quand on écoute les chansons de cet auteur-compositeur interprète, on a le souffle coupé! C’est très beau. L’écriture des textes est remarquable. La voix aux intonations parfois tragiques est sans complaisance, puissante et poétique, les arrangements non revendiqués qui n’impliquent pas moins de 16 musiciens ou choristes sont astucieux et originaux. Le texte parlé “Quand je serai une star ” nous a fait penser à Dimey et certains textes de chansons dénotent une filiation avec Léo Ferré. Notamment dans 2 chansons “Cadence” et “L’épopée” que j’aurais préféré plus courtes, bien qu’elles soient sans failles. Un bon duo chanté dans “Bosna” avec une voix féminine dont on aurait aimé connaître le nom de sa propriétaire (est-ce Anne Dirand ou Isabelle Cousin?). Disons pour terminer que Michel-Marie Perraudin nous prévient contre toute admiration intempestive que l’on pourrait avoir à son égard: “Que jamais ne soit dit du moins à mon endroit/ Il lui fallut courage, mérite et don de soi/ Ce n’serai que foutaise et n’aimerai pas ça/Tous les grands morts m’emmerdent et ne vous trompez pas/N’aimez que mes chansons, elles valent plus que moi”.de cette excellente initiative et en rendra compte dans ses colonnes.

M.V.

Une des plus belles voix de la chanson d'aujourd'hui, une voix chaleureuse, puissante et émouvante comme celle d'une chanteuse de blues, une des plus lumineuses présence et écriture, autant poétesse que chanteuse, voilà Véronique Pestel. Elle nous offre avec cet enregistrement public, une trace de son récital à deux pianos en compagnie de Michel Précastelli. Vingt-trois titres pour décliner l'univers de Véronique, un voyage plein de tendresse, de l'évocation mélancolique et tendre de "Décembre à Paris ", à la douleur de ces "Prisons de femmes " où se meurt l'amour, au gospel des "sans-voix", de la  ritournelle à la complainte des "petits et grands chanteurs". Au fil des titres, Véronique Pestel passe de la nostalgie au désir, de l’aliénation à la liberté, de la dénonciation de l'horreur économique à la sérénité des poésies de Catherine Pozzi ("Ave"), Marie Givers ("Printemps ") ou Lucette-Marie Sagnières ("Quel est ce vol ? "), au dépouillement de celles de Liliane Wouters ("Il faut savoir ", "Pour vivre "). Elle scrute "le temps " inexorable avec le constat qu'il n'est jamais devant, toujours derrière soi, mais qu'il pourrait pourtant être le temps qu'on espère, elle se demande ce qu'ont fait ou n'ont pas fait ces messieurs aux "Mains blanches" et nous fait rencontrer une vieille qui nous invite à danser, à chanter. Au passage, elle brosse quelques portraits de "femmes de parole" dans la déjà célèbre galerie de "Miml de Saint-Julien " et finit le récital avec l'aveu que sa vie n'est qu'un "long chant tendu vers je ne sais quel ou qui…vers je sais bien quel ou qui ", un long chant "au fil des autres ". Un récital magnifique soutenu par le talent de Michel Precastelli. Ecoutez les, mais surtout allez les voir et les entendre. Lumineux et merveilleux!

F.P.

Enregistrement public - Véronique Pestel donne ici la pleine mesure de son talent, de ses talents, devrais-je dire tant les facettes en sont variées. La voix est expressive, chaleureuse, parfois sensuelle ou drôle à la manière légère et moqueuse des diseuses de ce début de siècle. Son expression poétique est grande ainsi que sa musicalité et sa force et  m’ont fait penser à la grande Catherine Sauvage lorsqu’elle chantait les poètes. Hormis 5 ou 6 chansons, elle a signé tous les textes et les musiques. Elle s’accompagne elle-même au piano, avec la belle complicité de Pascal Tafuri, guitariste très sensible.  C’est superbe.

M.V.

La première chanson, toute  de tendresse, est un blues dédié à sa grand’mère , “Berceuse en fa” est un clin d’oeil sympathique à Brassens, et la troisième, une fort jolie chanson sur la mémoire. On en redemande.

M.V.

Un trio vocal déjanté et délirant. Avec beaucoup de virtuosité, ces trois chanteuses nous font pénétrer dans un univers poétique, burlesque et incongru, où l’on croise tour à tour «Une grenouille transgénique» et une «Princesse aux petits pois». Elles se jouent des mots et s’amusent des sons, des nuances, des timbres, comme dans le très étrange «Retour de Cruk».Elles font ici une seule concession à la chanson traditionnelle avec une reprise de «Comme à Ostende». Parfaitement maîtrisé et surprenant !

F.P.

Ce groupe essonnien, créé il y a 4 ans, s'est donc bien rôdé sur scène avant de nous emmener dans son univers du "pays de Fernand", à la faveur de ce 1^er CD, si l'on excepte un CD 3 titres en 2003 et un CD 4 titres en 2004. Damien à la guitare, Frédéric au piano, Cyril à la batterie et Thomas à la basse composent ce groupe festif dans la mouvance de Tryo, quoiqu'un peu moins "politique" mais tout aussi ironique et mordant. Issus d'univers musicaux différents et complémentaires, le groupe révèle une complicité issue d'une amitié de longue date qui participe à cet univers riche propre à nous faire partager sa vie, ses voyages et son quotidien.

J-P.C.