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Art de Vie
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Michèle Atlani
Au Lit les Mômes
Pascal Auberson
Aubin
Isabelle Aubret
Barbara Augier
Aurèle
Alain Aurenche
Christine Authier
Michel Avalon

  Au Lit les Mômes

( 06 63 05 37 00 (Fred)
e.mail : redfred@tel2.fr
site : http://www.aulitlesmomes.com

Autoproduit
10 titres

N° 113 - Juillet-Août 2003 

Voilà un remède contre la morosité. Ces “sales gosses” sont les tenants d’une chanson française, acoustique, délirante et colorée et constituent un groupe essentiellement festif qui présente son style comme un “swing song et musette folk dingue”. Décidément fort peu sérieux, parodiques et burlesques, ces compères s’avèrent d’habiles instrumentistes et vocalistes, empruntant à toutes les musiques du reggae à la salsa (“Fidèle Gastro ”) en passant par le folklore et le massacre du “tube de l’été” (“Aurélie ”) pour une bonne dose d’humour. De dignes héritiers de Spike Jones (“Vide”). Réjouissant !

F.P.

"On peut se le permettre
Prod. Plein de Lunes
( 01 40 27 82 32
4 titres

N° 106 - Décembre 2002

Un groupe essentiellement festif qui présente son style comme un « swing song et musette folk dingue ». Avec un sens aigu de la parodie et du burlesque, ces six compères, habiles instrumentistes, empruntent à toutes musiques du reggae au folklore pour un concentré d’humour. Sérieux s’abstenir !

F.P.

  Pascal Auberson

 





"Aubersong (1974-2000)" ©
 
et "Ceux qu’on aime" ©
DO 65258 et 65275 - Cesar prod. - Association Icare
(
0041 21/320 20 09 e.mail : associatio.icare@bluewin.ch
21 et 17 titres

N° 103 -  Septembre 2002

 

 

 

 

Deux disques sortis en 2000 pour apprécier la trajectoire atypique de cet «anartiste», éclectique, musicien rompu à toutes les formes musicales, jazz, classique ou contemporain. Son chemin était pourtant tout tracé, lui que l’on voyait comme un successeur de Nougaro, mais l’homme est insaisissable et n’a eu de cesse de poursuivre son exploration. «Aubersong» donne un aperçu de cette carrière. De «Ophélie» à «Il faut que ça swingue», «Jamaîca», «Une robe de Chine» ou «Taxi driver» en passant par «Ma madonne», c’est un florilège de chansons, teintées de notes bleues, d’accents lyriques et de coups de gueule. Restituant la démarche actuelle de l’artiste, son utilisation instrumentale de la voix, «Ceux qu’on aime» est comme une traversée en solitaire dans l’univers d’Auberson et s’ouvre par un gigantesque «Merci» à tous ceux qui ont nourri sa vie et son art en se refermant sur un tonitruant «Vive la nostalgie». Entre ces deux titres, les chansons plus épurées nous emportent de la réalité urbaine d’un «Tram 33» à celle des «Gens du voyage» pour s’arrêter un moment sur une «Bretagne» défigurée. Mais le cœur de ce disque est le constat terrible de ce monde en proie au libéralisme et écologiquement menacé avec cet «Humanimal» prophétique auquel font écho les citations d’auteur telle Viviane Forester. Pascal Auberson n’est pas un optimiste mais il porte en lui une ancienne espérance («Je suis comme un enfant») et son regard profond est celui d’un romantique qui dit l’amour et la vie dans toute sa dimension, jouissance ou tragédie, comme dans le bouleversant texte de Claude Semal («Cheveux noirs») ou le superbe «Femme de jour, femme de nuit». Dans un style très dépouillé, où le piano souligne tout juste la voix de quelques touches, Pascal Auberson, entre exubérance et confidence, nous offre le dernier cri du cœur de cet «Ange rebelle» ! Envoûtant !

F.P.

  Aubin

A.TIMSIT - 53 rue Vivienne - 75002 PARIS
( 01 42 33 86 10

"Silent screams"
980607CS - Autoprod. 
6 titres

N° 67 -  Mai 1999

Disons tout de suite que la voix et l’interprétation maniériste d’Aubin m’auraient empêché d’écouter ce CD si je n’avais pas eu la curiosité de lire les textes sur le livret. Ah, ces livrets ! On ne dira jamais assez combien ils ont pu rattraper des auditeurs de disques dégoûtés de ne rien comprendre aux paroles ! Eh bien, Aubin a une imagination poétique intéressante ce qui n’est pas rien. Mais ... son imagination musicale est faible et il lui faudrait travailler sa voix sans chercher à lui donner une personnalité fabriquée. Au travail !

M.V.

  Isabelle Aubret

 

"Quel temps fait-il à Paris ?
 MEY 7449.1  - Prod. Alleluia Disques Meys Distr. Sonymusic
Promo
1 titre

N° 71 - Octobre 1999

Le standard du film de Tati interprété avec le talent habituel d’Isabelle est la seule chanson de ce CD, extraite de Parisabelle choix de chansons sur Paris.

M.V.

  Barbara Augier

Contact Hugues Boucry
( 01 40 30 56 14
e.mail : madamebaraka@hotmail.com

"En live au Cabaret Sauvage"
BARAKA 01 - Autoproduit
4 titres

N° 88 - Avril 2001

Une voix originale, tantôt fragile, tantôt empruntant les accents du blues. Des accompagnements qui puisent autant dans le Fado (“L’amour mélodie”) que dans le jazz (“Ma vie c’est le cabaret”). Une présence qui s’avère être en public plus forte que ne le laissait supposer son précédent enregistrement studio.

F.P.

 

AUG2HUG - Autoproduit
4 titres

N° 79 - Juin  2000

 

Auteur interprète travaillant avec différents auteurs, nous promenant de ballades en reggae en passant par l'Orient. Voix originale, pleine de fragilité, sussurant les mots, au point d'apparaître parfois un peu faible. Dommage, "Houria" sur l'Algérie aurait mérité un peu plus de force.

F.P.

  Aurèle

Contact : Péniche "Au chaland qui passe"
Boulevard Van Iseghem - 44000 NANTES
( 06 77 19 99 78
e.mail :  aurele.salmon@free.fr 

"Bain public"
Démo
10 titres

N° 132 - Avril 2005

Bain de foule et enregistrement public pour cette fille d'un couple de chanteurs, embarquée à leurs côtés dans des aventures musicales et qui s'est illustré depuis dans les "descentes de Loire en chansons" et par la création du quatuor "Malena". La voilà dorénavant soliste accompagnée par Philippe Bizais (piano) et Maurice Spitz (contrebasse). Si musiques et interprétation restent assez convenues et classiques, c'est dans les textes qu'Aurèle marque son originalité. De "La chanson de la pleuriste" à "Je fume" en passant par "Que le grand cirque me croque", Aurèle s'amuse des mots, des rimes et des assonances et nous raconte avec humour qu'elle est "une passeuse de bornes…une gonfleuse de boules…", qu’elle "fume dans une zone où c'est interdit...", qu'il n'y a qu'à l'allumer un peu. Elle revisite Jean Constantin, nous offre une comptine érotique…manie ironie, dérision et provocation. Bref, la jeune femme à du style et coté écriture ... l'Aurèle est hardie !

F.P.

  Alain Aurenche

 

 

"Et après..." ©
Edit. Grand Large
Prod. Noëlle André/A. Aurenche
10 av. de Brugherio
43000 LE PUY-EN-VELAY
( 04 71 09 59 28 noelle.andre43@wanadoo.fr
12 titres

N° 111 - Mai 2003

 

Avec sa sensibilité, sa fougue et sa force, ce “va nu cœur”, écorché vif et révolté qu’est Alain Aurenche nous offre en guise de retour, un disque enregistré en public au milieu de ses “copains de comptoir” du Forum Léo Ferré. Il y chante toujours “Ces amis, ces amours” avec la même tendresse, nous rappelle les rêves échappés qui sont peut-être encore à portée de main (“Et après…”), mais l’orage s’est calmé, la tempête et le feu d’hier ont fait place à un souffle moins violent et plus frais mais tout aussi salutaire, de dérision. Alain Aurenche reste pourtant “Sans pitié ” contre une morale hypocrite, la bêtise et la suffisance (“Cabot ”), chante les émois et les transports amoureux avec crudité (“Ado retro satanas”, “Elodie”) mais il est avant tout un homme droit, debout, au regard profond, les yeux embués d’embruns ou de larmes, tourné vers l’océan et cette marée de la mémoire (“Marèse”), vers ce “Chemin du grand silence” que nous emprunterons tous. Alain Aurenche y signe évidemment les textes mais aussi certaines des musiques en collaboration avec Christophe Brillaud qui l’accompagne au piano, sans oublier la fidèle complicité de Jean-Luc Debattice. Côté musiciens, outre le piano, il est entouré par Sylvain Tarrago (guitares), Michel Glasko (violoncelle, accordéon), Adrien Varachaud (saxophones). A la fois grave et rieur, mordant et caressant, le chant déchirant de cet artiste qui, avec sa tendresse pour les loups, laisse toujours des morsures profondes

F.P.

  Christine Authier

 

 

"J’aimais"
LFB016 - Production le Loup du Faubourg
Distribution: Night and Day
12 titres

N° 55 - Avril 1998

 

Christine est vocalement au mieux de sa forme et est brillamment accompagnée par plusieurs musiciens solides en particulier Lionel Dudognon qui collabore à l’écriture musicale des chansons dont elle est l’auteur, et joue guitare et mandoline. Il y a aussi Marcel Azzola. C’est un CD qui nous fait entrer de plein pied dans l’univers intimiste de Christine Authier avec ses couleurs de nostalgie, de malice, de pudeur aussi et ses chansons d’amour sont un perpétuel aller et retour entre l’envie de s’y plonger et la peur d’être déçue. On y retrouve aussi l’attraction de la country, l’amour du Québec et de la Nouvelle Orléans et une jolie chanson,“La valse blanche”, bel hommage discret à Barbara.

M.V.

  Michel Avalon

M. Avalon - 45 rue Taillade
30250 SOMMIERES
06 76 63 36 07
e.mail :  avalone4@wanadoo.fr
site : www.exilprod.com

"Chansons pour l'hiver …
Production Arts et Muses
11 titres

N° 140 - Janvier 2006 

Quatrième disque et nouveau spectacle de cet artiste Sétois qui nous propose un nouveau voyage musical, après "Pas vrai Léo" consacré à Ferré et "Romance à la lune" (poètes mis en musique), spectacles qu'il tourne naturellement toujours. Neuf chansons d'inspirations diverses s'ajoutent à une reprise de G. Laffaille ("Le gros chat du marché ") et une seconde de L. Ferré ("T'en as ? "). Nul autre que lui ne saurait mieux égrainer les saisons au gré des mois de l'année ("Calendrier "), "écrire des lettres pour le vent léger" ("Sous le vent des mots "), voyager parmi les étoiles et se perdre dans les yeux de sa bien-aimée ("Parmi les étoiles "), chanter un hymne improbable qui monte au ciel de Paris ("Va fa dou fe/Va dou de dai ") ou, entre couplets Yin et couplets Yang, conjuguer tendres caresses et griffes acérées ("Yin-Yang "). Entre flûte et accordéon, guitares et contrebasse, ce sont swing, bossa, tango qui éclairent joliment les aspirations musicales qui s'accordent parfaitement à l'humeur vagabonde de ce poète-artisan.

J-P.C.

"Pas vrai, Léo !
Cie de l'Exil 
démo
17 titres

N° 123 - Juin 2004 

Nous retrouvons notre ACI sétois très prolixe Michel Avalone (alias Avalon) qui, tout en promenant sa propre poésie, ne dédaigne pas interpréter les poètes, témoin le spectacle passé "Romance de la lune". Pour cette nouvelle production très dense, pas moins de 17 titres de Léo Ferré sont revisités de façon très personnelle par l'artiste auquel se joignent J-P Fourment (contrebasse) et N. Martin (piano). Enregistré en conditions de concert, ce répertoire témoigne du spectacle en cours qui sera donné, entre autre, au festival off en Avignon 2004. Etonnante métamorphose de plusieurs chansons pour lesquelles des arrangements de guitares se substituent aux habituelles partitions de piano. Outre sa voix reconnaissable, à la fois grave et légèrement voilée, notons, en particulier, entre autre originalités, la très belle interprétation à la guitare du texte toujours aussi émouvant de "La mémoire et la mer ", la forte présence de la contrebasse dans "L’étrangère " et "Les assis ", la reprise très enlevée de "Jolie môme ", le swing tendance manouche de "T'en as ", la bossa de "Graine d'ananar ", sa propre composition de "Marizibill " et sa non moins très personnelle interprétation de "T’es rock coco !". Spectacle à découvrir sur scène.

J-P.C.

"Contrechant"
Autoproduit
10 titres

N° 118 - Janvier 2004

Délaissant les poètes mis en musique en 99 ("Romance de la lune ") et Léo Ferré dans un hommage en 2002 ("Pas vrai, Léo! "), l'ACI sètois, très prolixe, nous propose un nouvel album. L'accompagnement est minimaliste, sa seule guitare est en effet uniquement épaulée de la contrebasse de J-P Fourment, par ailleurs co-arrangeur. Sans jamais céder à la facilité, sans mélodie fleurant le "tube", de sa voix singulière, il nous fait partager son univers romantique qui peut sembler à contre-courant dans les premiers textes d'une poésie relativement austère, mais qui, à partir d'un "Marizibil" revisité, chemine vers une chanson plus traditionnelle, pour finir par une satire en règle de ses contemporains ("Calendrier "). Belle ouvrage, bien qu'un peu déroutante, de cet artiste qui arpente les chemins escarpés d'une quête d'absolue, à la recherche utopique d'un monde meilleur.

J-P.C.

"Romance de la lune"
autoproduit
8 titres

N° 107 - Janvier 2003

Un sympathique voyage chez les poètes, d’Apollinaire à Garcia Lorca, de Rimbaud à Prévert en passant par Aragon et Laforgue. C’est toujours un plaisir que d’entendre ces textes si magnifiquement mis en musique et, ici, fort bien interprétés : «Est-ce ainsi que les hommes vivent ?», la «Complainte de l’oubli des morts», «Les belles familles», voilà autant de morceaux qui émaillent cet album dont la personnalité touche.

R.L.

"Pas vrai, Léo"
Démo
4 titres

N° 105 - Novembre 2002

Extraits d’un spectacle en hommage à Léo Ferré, construit autour de ce long texte «Et… basta !» qui fut interprété une unique fois en scène par Léo Ferré lui-même, et ponctué de chansons avec ici «Monsieur William» de Caussimon et «L’étrangère» d’Aragon que Michel Avalon illustre de façon déroutante. Un regard personnel sur l’œuvre de Ferré. Un aperçu trop bref pour un jugement définitif. A voir en scène !

F.P.

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