Rabetaud et Desmons
Victor Racoin
Fred Radix
Philippe Raillon
La Rasbaïa
François Rascal
François Rascal & Orfeu Indigo
Edgar Ravahatra
Nicolas Reggiani
Serge Reggiani
Jean-Pierre Réginal
Réglisse-Menthe
Betty Reicher
Xavier Renard
Réo
Résonance
Bernard Revel
Maurice Reverdy
Ribo
Ricet-Barrier
Richerd
Pascal Rinaldi
Rive Gauche
Les Rives
François Robert
Blandine Robin
Marc Robine
Robineau
Robinsonne
Rodrigue

Voilà des duettistes qui portent bien haut le flambeau de la chanson française et cela depuis vingt cinq ans. Après des débuts en première partie de Jean-Roger Caussimon et une rencontre décisive avec les Frères Jacques, ces deux artistes se sont illustrés dans le répertoire de ces derniers comme dans celui de Jean Villard-Gilles. Ils nous offrent aujourd’hui un nouveau disque plein d’humour, de fantaisie et de poésie où se côtoient Aragon ("La place ici de toute chose "), Dimey ("Les accidents de voiture ", "Si monseigneur voulait "), Gilles ("Le rire et ses rois ") mais aussi des auteurs actuels tels que Joyet ("Le gérontophile "), Vincent Rocca ("La cheville ouvrière ") et Véronique Pestel ("Vanina s’en va ") ainsi que leurs propres textes ("Chez Delan ", "Et les mains pliaient "). A l’image de cette "Suite folklorique " joyeuse parodie issue de la plume de Charles Caunant qui tenait le cabaret L’Echappée Belle où le duo fit ses premières armes, voilà un cocktail savoureux servi par l’interprétation harmonieuse de ces deux talentueux artistes. A écouter avec délectation et gourmandise!

F.P.

5 musiciens chanteurs, comédiens, auteurs parfois, excellents dans tous ces domaines. Sur scène, c'est un spectacle hilarant, un ravissement des yeux, des oreilles et des zygomatiques. Nous avions vu ce quintet à Avignon en 98, et vous conseillons vivement de faire de même. Sur disque, il est difficile d'imaginer les gags se succèdant à un rythme effréné, les costumes, les mimiques, la mise en scène fluide et précise. Capables d'adapter des morceaux de jazz, des auteurs tels que Lacouture comme de la musique de Josquin des Prés, tour à tour fanfare, orchestre symphonique, heavy-metal ou simple filet de voix, leur talent ne semble pas avoir de limites et le disque en donne un bon aperçu. (Dommage qu'il n'y ait pas de livret). A voir absolument. (Ils seront à Paris du 20/01 au 4/03  et tournent en province également. Surveillez les infos PM!

A.M. et F.P.

Après des années au sein des "Mange Cailloux", compagnie de théâtre de rue, Fred Radix, chanteur, comédien, musicien, a écumé les scènes de France depuis 1999. On le connaissait pour son "Récital à domicile", on a admiré sa performance solo époustouflante dans "Strapontin", mise en scène de l'envers du décor et des petits métiers du spectacle : il y jouait tous les rôles du pompier de service au rideau de scène. Entre diverses créations, il a pris le temps de nous offrir cet album de chansons de facture plus classique. Mais on ne se refait pas et Fred se montre, encore une fois, comme un acrobate des mots, un jongleur de rimes incorrigible. Ouverture avec une belle déclaration d'amour en compagnie d' Amélie-les-crayons ("Nous ne nous ") poursuivie avec délicatesse par "Inutile ". Mais voilà, le calme et la tendresse ne sont pas forcément au rendez-vous et il y a des "Lendemains de fête " un peu agités où on a l'impression d'avoir "dormi sur l'échelle de Richter". Dans l'album de Fred, on découvre aussi un sacré bestiaire ou un homme bête fier comme un coq, fort comme un bœuf, têtu comme un âne, fait sa "Basse cour " à une jolie fermière. On le retrouve "Contemplatif " un peu niais, voyeur dans "Ma voisine est jolie ", fauché dont "l'amour a été débité" ("Bouquet de pensées "), mélancolique cherchant à "Tuer le temps " mais aussi caustique quand il s'en prend aux chasseurs avec une "Balle perdue " qui fait ici mouche. Adepte du jeu de mots, émule de Lapointe, Fred nous fait ici de belles démonstrations de ce talent avec les délicieux "Sidonie " et "L'ami de la famille ". Remarquablement arrangé par Fred et Jérôme Vittoz, avec la présence de pas moins de douze musiciens et chanteurs, ce disque reste sobrement orchestré, délicat ou tonique et place Fred Radix parmi les plus talentueux artistes de sa génération. Remarquable et surtout réjouissant! 

F.P.

Nous attendons l’album de ce baroudeur de charme dont nous avons eu l’impression en deux chansons qu’il donnait dans le style folk-chants de marin ou country avec cependant des arrangements plus originaux qu’habituellement dans ces styles de musique. Une bonne voix en tous cas.

M.V.

Premier grand album pour ce groupe, dont le nom d’origine Marseillaise signifie "à la volée", mené par Jean-Luc Priano, A.C.I, guitariste et pianiste et Bérengère Altieri, danseuse, chanteuse et comédienne, qui réussissent ici un métissage culturel et musical surprenant, mêlant jazz, folklore et rock. Leurs " poé-li-tiques " , tour à tour humoristiques, bucoliques et ironiques nous entraînent dans un univers où se rencontrent ambiances tziganes, valse parisienne ("Paris la grise "), slow langoureux en hommage aux bovins ("My cow "). Sur des textes habiles et grinçants, ils font d’un pamphlet social contre la misère ou d’une tirade écologique, des danses joyeuses ("Tout va bien ", "At home "), dénoncent la standardisation, la normalisation, la virtualité de notre société avec sa mise en "Carte des désirs ". Avec fantaisie ils nous content les histoires d’un "fantôme de la tarte aux pommes " ou d’un "Roi du monde " que la soif de pouvoir finit par faire exploser. La tendresse et la mélancolie sont aussi présentes avec "Sous le couvert de tes épaules " ou la très belle "valse en L ". Une mention spéciale enfin pour le savoureux texte de Jean-Luc, plein d’autodérision, où il se fait "La boule à zéro ". Enregistré avec Norbert Lucarain à la batterie et J-L. Arramy à la contrebasse, voilà un album tonique, parfois déroutant mais toujours réjouissant. Un travail original !

F.P.

Nouveaux titres pour ce groupe de chanson actuelle constitué de Jean-Luc Priano, A.C.I, guitariste et pianiste et de Bérengère Altieri, chanteuse, danseuse et comédienne, auxquels se joignent, suivant la formation, d’autres musiciens. Mariant jazz, folklore et rock, d’un ton alerte, ils réussissent à faire d’un pamphlet social contre la misère ou d’une tirade écologique, des danses joyeuses («Tout va bien», «At-Home»). Tonique !

F.P.

Se définissant comme un groupe de chanson actuelle dont la recette mélange rythmes de jazz, influences rock , “une poignée d’herbes de Provence et un bon coup de vent breton pour des chansons poétiques”, la Rasbaïa réussit un métissage culturel et musical original parfois étrange et indéfinissable. Au noyau constitué de Jean-Luc Priano, A.C.I, guitariste et pianiste et de Bérengère Altieri, chanteuse, danseuse et comédienne, se joignent suivant la formation, sextet ou quartet, d’autres musiciens . Alerte et tonique.Se définissant comme un groupe de chanson actuelle dont la recette mélange rythmes de jazz, influences rock , “une poignée d’herbes de Provence et un bon coup de vent breton pour des chansons poétiques”, la Rasbaïa réussit un métissage culturel et musical original parfois étrange et indéfinissable. Au noyau constitué de Jean-Luc Priano, A.C.I, guitariste et pianiste et de Bérengère Altieri, chanteuse, danseuse et comédienne, se joignent suivant la formation, sextet ou quartet, d’autres musiciens . Alerte et tonique.

F.P.

Pour la circonstance, les 2 artistes ont abandonné leur répertoire personnel respectif et, pour F. Rascal, celui de Vian et Lapointe. En l'occurrence, ils ont mis en musique une grande variété de textes de poètes connus, entre autres : Apollinaire, Eluard, Baudelaire, Verlaine ou moins connus (!) tels M-A de Saint-Amant, M. Laphrise de Papillon et autres Reverdy ou Spire. Ce répertoire de "poésie devenue chansons" est d'ailleurs devenu un spectacle à part entière. Dans une formule d'accompagnement minimaliste (guitare-accordéon/bandonéon) dans lequel chacun a conçu ses arrangements, la prise de risque est totale : fallait-il de l'audace pour faire swinguer Baudelaire ("Le poison "), Eluard ("La nécessité ", "En souvenir d'un fauve "), Supervielle ("Après le pas "), de Saint-Amand ("Le paresseux ") ! Le résultat, aussi surprenant soit-il à la première écoute, est tout à fait réussi grâce à la complémentarité des 2 artistes : belles mélodies aux rythmes "accrocheurs" portées par une interprétation toute en nuance, des accords de guitare souvent jazzy et un accordéon aussi discret qu'omniprésent. Pour le plaisir, citons le modèle d'arrangement à 2 voix qui illustre le court texte de 5 vers de "L’Adieu" (Apollinaire) à la mélodie envoûtante qui s'égrène sur 3 mn. On sent un réel bonheur de s'approprier cette poésie qui naît de la complicité du duo. Que les vers soient contemporains ou franchement anciens, qu'importe, tout est recoloré et revitalisé. Puisse cette approche moderne de la poésie au service du public réhabilite, s'il en était besoin, les beaux textes auprès des "ingénu(e)s". Attention ! "si tu sautes à pieds joints sur le monde il sonne creux " ! (Fournel).

J-P.C.

François Rascal délaisse ici son propre groupe, Orfeu Indigo, et ses propres compositions pour une incursion en poésie. Illustrant Verlaine, Eluard, André Spire, il apporte à ces textes sa sensibilité, sa passion pour le jazz, sa vivacité et sa simplicité. Entre swing et bossa, la guitare redonne énergie, fraîcheur et vitalité à ces vers, tandis que l’accordéon d’ Arnaud Méthivier en souligne les accents, avec douceur ou avec rage. Un excellent travail pour une poésie toujours vivante!

F.P.

Un swing léger sur lequel se promène la voix aux accents traînants et “bluesy” de François Rascal, des textes forts bien écrits, signés Dominique Plumecoq et François Rascal, des inspirations diverses : impressions de voyage (“Alfama”, “La plus belle ville du monde”), portraits (“Monsieur Mohamed”, “L’Eden hôtel”, “26 juillet 40”), vague à l’âme et émotion (“Intérieur néant”, “La nostalgie”, “Fatima”), des ambiances qui rappellent David Mac Neil ou Dick Annegarn, tout concourt à faire de ce premier disque un coup d’essai réussi. François s’accompagne à la guitare avec la complicité d’Eric Luxey (batterie), Thierry Leu (contrebasse), Thierry Germon (guitares). A suivre avec attention.

F.P.

Malgache d’origine et stéphanois d’adoption, Edgar Ravahatra a été bercé par la double influence du folklore du pays natal et de la chanson française, que son père lui fit découvrir : Montand, Sablon et surtout Brassens à qui il rend ici hommage dans une éblouissante version de «Je m’suis fait tout petit». Ouvert à toutes les musiques : jazz, rock, pop, chantant aussi en anglais et malgache, il n’en reste pas moins un «chanteur de l’espace francophone». Accompagné des frères Coquard à la basse et la batterie, avec sa voix chaude et colorée, la subtilité et le «feeling» de sa guitare, Edgar Ravahatra nous propose un cocktail épicé pour une musique agréablement métissée.

F.P.

Avec GIOVANNI MIRABASSI

Comme l’avait été celui de Josette Kalifa et de David Venitucci, ce disque consacré à Léo ferré n’est pas le disque d’un seul interprète, mais bien celui d’un véritable duo, de deux artistes qui revisitent chacun à sa façon ce répertoire. L’un, Nicolas Reggiani se passionne pour les textes rares et forts, l’autre, Giovanni Mirabassi, pianiste de jazz accompli avait déjà dans "Avanti" exploré la chanson d’auteur, populaire ou révolutionnaire, il y reprenait alors " Je chante pour passer le temps ". La rencontre avec la famille Ferré qui décide de leur confier quelques inédits leur donne l’idée d’un spectacle et d’un disque entièrement consacré à Léo. On y retrouve bien sûr des titres phares tels que "La the nana", "Vingt ans", "L’affiche rouge" , "Est-ce ainsi que les hommes vivent" , d’autres moins connus ( "Avec ses vêtements" , "La lune" , "Je t’aime" ) dans des interprétations originales et personnelles. Nicolas s’y révèle un puissant interprète, lyrique et tragique ( "L’âge d’or" , "Tu n’en reviendras pas" ), ironique et mordant ( "Le crachat" , "Le vin de l’assassin" ). Quant à Giovanni, il est éblouissant de virtuosité, d’ingéniosité. Ecoutez-le, par exemple, dans l’intro de "Je chante pour passer le temps" , dans "Blues" . Dans ceux-ci comme dans chacun des morceaux de ce disque, il apporte sa grande maîtrise et ce sens de l’improvisation acquises dans la pratique du jazz. A eux deux, ils nous offrent une interprétation magistrale de cette œuvre bien souvent chantée et redonnent à celle-ci le souffle, l’énergie, la jeunesse de ses "Vingt ans" . A tout point de vue magnifique 

F.P.

40 chansons “cultes” remasterisées en haute définition: 20 succès des grandes années Reggiani et 20 “Reggiani et les grands auteurs (Prévert, Boris Vian)”. Le livret donne les textes, des photos inédites et des témoignages de célébrités diverses. Très jolie présentation et bravo à Françoise et Bernard Canetti qui savent continuer l’oeuvre de leur père avec la collaboration avisée de Fabienne Nourbat.

M.V.

En concert  ? Chouette, une formation musicale ! Non ? Ah, rien qu’un piano-voix ? Bon, bah, c’est sympa aussi : ça permettra au moins de s’intéresser aux textes des chansons. D’ailleurs, la balade avec Madame Alice promenant son chien et ses amours incertaines à Saint-Sulpice n’est pas désagréable. Pourtant, je ne sais de quelle diablerie il peut s’agir, mais un ronron s’instaure, insiste et les mots s’en vont au final… Reste alors la musique, mais si son Tango est révolutionnaire - à ce qu’en dit son auteur - c’est peut-être de tourner en rond. Cependant, on nous annonce également un nouveau C.D. studio «avec des arrangements très originaux et actuels» : nous l’attendons avec impatience.

R.L.

Bien sûr, les chansons de Jean-Pierre Réginal ne sont pas, comme son tango, révolutionnaires, mais sur les touches de son piano, ses petites mélodies se font ritournelles charmantes, ironiques comme ce «Grand bétisier» témoin de nos incrédulités, tendres pour une plongée dans l’enfance («Ma mère m’a dit»). Réginal aime aussi les portraits croisés, celui de «Madame Alice» et de ses amours incertaines, ceux de ces «Dubois et Dupuis» que la vie ne fera jamais se rencontrer. Et, si «Les mots s’en vont», ils laissent en partant, et pour longtemps, une délicate petite empreinte.

F.P.

Un récital à 5 voix + 1 violoncelle qui revisite le répertoire de la chanson française en 19 titres de “la Javanaise ” à “Amsterdam ” en passant par “Dure Mère ” de F. Béranger (pari osé !). On peut préférer le “Gros Cœur du Picardie”, mais tout est question de goût, à choisir entre une infusion réglisse-menthe et un bon verre de rosé frais !

J-P.C.

Essai transformé pour le premier disque de cette artiste, qui décline fantaisie, spleen et nostalgie, se fait coquine, friponne (“Chal’or”, “Simon”), nous fait partager ses états d’âme et sa “Mienne de vie”, se penche sur sa “Photo de famille”. Elle revisite à sa façon la chanson “rive gauche” sur des accents de swing, de bossa, de tango, voire de rock. Elle est fort bien soutenue par les arrangements de Gérard Gabbay et la complicité, entre autres musiciens, de Sylvain Durand (piano) et Marc Giglio (batterie). Nos encouragements pour cette “Aventurière des temps modernes” !

F.P.

Xavier, comme à son habitude, a apporté à ce disque ses plus grands soins : qualité des arrangements, choix des musiques, justesse de l’interprétation (avec une mention pour Emmanuel Renard aux guitares) et textes aux inspirations diverses. De "Calcutta" à "Qu’est ce que je vais lui dire ?", inquiétudes et interrogations d’un père sur le monde et ce qu’on laisse à nos enfants, du "Pavillon des fous" à "Musulmane afghane", voilà quatre morceaux de choix pour découvrir ou retrouver cet auteur compositeur et interprète plein de finesse et de sensibilité.

F.P.

Un auteur compositeur interprète qui n'en est pas à son coup d'essai. En 96, Chorus saluait "Trop petit la terre" comme un superbe premier album. Il s'est déjà distingué dans différents concours et a remporté, entre autres, le prix de la SACEM en 93. Il nous donne ici un échantillon de la palette de l'artiste (il est aussi peintre). "Homme debout" nous emmène dans une réserve indienne avec toute la nostalgie d'une époque révolue. "Internet" interroge sur ce qui "restera de nos vies, de nos amours, de nos envies pour la planète envoyées sur le réseau et les écrans vidéos". La voix légère "surfe" sur de beau accompagnements de guitare que Xavier réalise avec son frère Emmanuel et la complicité du percussionniste Philippe Ferreira. Son deuxième album devrait sortir cet automne, on a hâte de l'entendre.

F.P.

Issu de plusieurs formations de jazz, dans un souci de liberté, c'est désormais en solo que Thierry Réocreux, dit "Réo" se produit. La tâche n'est pas aisée pour un bassiste-contrebassiste et fort peu courante. Point d'accords compliqués sur la traditionnelle guitare, mais un festival de notes et de chansons. Car Réo, c'est aussi une voix mêlée aux harmonies de son instrument, toujours à l'affût de la musicalité et du son des mots. Les compositions aux mélodies d'inspiration afro-cubaine mâtinées country-blues portent élégamment la poésie atypique d'un monde imaginaire légèrement sophistiqué. Notons, pour les spécialistes, que l'essentiel du climat est assuré par une basse 4 cordes frettée, une 5 cordes frettless et une contrebasse (pizz et archet), s'y ajoute un soupçon de percussion, d'harmonica et de synthé. Impressionnant de technique et surtout d'émotion.

J-P.C.

Excellent musicien, bassiste dans diverses formations de styles et de compositions différents (bluegrass, jazz) et vocaliste, Réo, de son vrai nom Thierry Réocreux s’inscrit dans la "mouvance de la chanson française actuelle". Il s’agit plus ici d’un exercice vocal et instrumental.

F.P.